esthétique jazz, 27 et 28 novembre au théâtre de l’Athénée

Matisse
quelques peintures lithographies et une céramique pour rendre hommage à l’oeuvre créatrice de Joséphine Baker. Plutôt que d’insister sur son implication dans la résistance ou sa « famille arc en ciel », le colloque souligne la force de son engagement esthétique.
Ma communication donnera toute sa force à ses danses et au mouvement qu’elle donne à son corps ou à sa voix.

Mes oeuvres questionnent la représentation du mouvement : loin des images très photographiques et statiques de Paul Collin qui ont fait d’abord la célébrité de son corps érotisé, Louis Dufy ou Laurens et Calder ont insisté sur les lignes mouvantes qu’elle imprime à son corps.

l'harmonie dominant la discorde, scultpure de Récipon en 1900

Calder. « Joséphine Baker II » (1928)

 

 

 

 

 
 

 

 

 

 

 

pendant les concerts (11h les deux jours et 15h le jeudi et 16h le vendredi) des peintures seront réalisées en direct sur scène. Sadi Mahmoud au Saxophone, Ludmilla au Micro et G. Normand à la guitare, et aussi à la batterie,

l'harmonie dominant la discorde, scultpure de Récipon en 1900

peinture de huuges Absil en direct avec Ludmilla, sadi Mahmoud et G. Normand

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