L’exposition est la première présentation de RUYA MAPS à Venise et comprend des œuvres de Majd Abdel Hamid (n. 1988), Talar Aghbashian (n. 1981), Lana Čmajčanin (n. 1983), Maryam Hoseini (n. 1988), Imad Issa (n. 1953), Farah Khelil (n. 1980), Randa Maddah (b. 1983), Füsun Onur (b. 1938) et Christiana Soulou (b.1961).

« View » (2017), une vidéo de la Syrienne Randa Maddah.
« Nous explorons les voix des artistes qui négocient leur vie et leur créativité, du chagrin au chagrin, en raison de leur amour pour une personne, une famille, un groupe social ou un pays. »
— TAMARA CHALABI, CO-CURATOR
Les œuvres exposées ne se concentrent pas seulement sur des chagrins de cœur, mais explorent le chagrin collectif ressenti par les communautés en situation de guerre et de conflit. Un certain nombre de nouvelles commissions questionnent directement l’expérience de chagrin de Didon qui, chez Virgile, se tue après le départ d’Enée vers Rome qu’il va créer, comme on peut le voir dans la toile exposée en ouverture de l’exposition.

Andrea Vaccaro, The Death of Dido. Oil on copper. Private collection. Courtesy Robilant + Voena, London Milan St Moritz.
Laisser un commentaire