Plus la lumière est importante et plus les réserve doivent l’être aussi : les contours du bâtiment bloquent notre regard et le rocher aussi : le deux réserves qu’il contient aurait pu être plus importantes. Par rapport au premier dessin de Florence, on gagne en lisibilité, et le ciel est plus léger. Le traitement de l’ensemble est bon, mais n’aurait-il pas fallut montrer davantage le bâtiment avec un ciel un peu plus sombre à son niveau?
Cela aurait pu aussi rattacher les rocher à ce qui les entoure.
Ce dessin montre justement ce que je disais à propos des deux précédentes aquarelles : le bâtiment se détache ici sur le ciel. N’airat-il pas fallut continuer cette réserve sur les rochers?
En comparaison avec le ciel, le bas du dessin aurait pu avoir quelques réserves, ce qui lui aurait donné légèreté et relief.
Sans doute, cela aurait pu encore l’être davantage avec plus de « réserves » que de gouache. La gouache peut apporter quelque chose de plus, comme sous l’église.
Mais le manque principal de « réserve » concerne l’église qui est traitée en couleur, mais pas en lumière. Cette partie de l’aquarelle ne semble pas correspondre à ce qui est fait dans la mer, comme si le langage plastique était différent.
Comme ces dernières semaines, je termine par l’aquarelle de Pascale qui est superbe, et reprend toutes les questions évoquées plus haut.- Mur de l’église en lumière sur un ciel non totalement blanc. Cette lumière est rendue visible ici par l’ombre du mur de gauche plus que par le ciel. Pascale a sans doute fait cela pour éviter un ciel blanc ou sombre.
- Sans doute avait-elle choisi de mettre en évidence la vague sous l’église. Celle-ci est mise en évidence à son tour par le creux sombre du premier plan.
- Peut-être aurait-on pu y mettre plus de mouvement, notamment à droite, mais la tache vert sombre reste nécessaire cependant.
tout est magnifique ! mj