Greco.
Grand palais jusqu’au 10 février 2020
Cette exposition répare une lacune importante : son oeuvre n’avait jamais fait l’objet d’une grande exposition. Le commissaire de l’exposition pose d’emblée le problème : « Fou, escentreique, astigmate, mystique, hérétique… ni les adjectifs, ni les théories – farfelues souvent – n’ont manqué pour expliquer l’originlatié de l’art de Greco. ». L’exposition réunit un très grands nombres de ses chefs-d’oeuvre, qui permettent de mieux comprendre l’einfluence qu’il eut de son temps en Italie puis en Espagne, et surtout sur l’art récent, de Picasso au Surréalistes par exemple. Cette exposition est remarquable pour la qualité de sa présentation qui permet de replacer le Greco dans la perspective du manièrisme, cet art qui au XVIème tente de comprendre le monde, une fois perdu l’équilibre de la Renaissance. elle l’est aussi dans les perspectives qu’elle permet vers l’art moderne.
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