Greco. Sous la direction de guillaume Kientz. Louvre éditions.
Dans un des remarquables textes de ce catalogue, le commissaire de l’exposition tente d’expliquer le génie de Greco, qui tient sans doute à la multiplicité de ses origines, crétoises, italiennes puis espagnoles. « cet itinéraire se polarise, dit-il, « autour de la tension persistance dans son art entre invention et variation, sur fond d’un profonde crise de l’image. »
Véronique Gérard Powell nous raconte aussi comment les liens se sont peu à peu tissés entre son oeuvre et Paris, au fil des acquisitions et de l’intérêt que lui portèrent de nombreux peintre français. Javier Baron Thaidigsmann poursuit cette analyse dans son texte “Greco et la naissance de la peinture moderne”.
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